Un des enfants de la tribu sème la zizanie ? Il vous mène la vie dure et ne vous accepte pas ? Vous vous disputez souvent avec votre moitié à cause de son comportement ? A tel point que vous commencez à remettre en question cette relation ? Stop, vous n’êtes pas seul(e). Comme vous, des milliers de beaux-parents (dont moi) traversent ce genre d’épreuves. Mais alors, que faire pour détendre l’atmosphère et arranger la situation ?
Dans cet article, je vous donne quelques pistes.
Dans la tête des enfants
Tim, 11 ans, a décidé que sa mère n’avait pas besoin d’un autre « homme » à la maison, autre que lui bien entendu. Sa mère est divorcée de son père, et en l’absence de ce dernier, Tim est le petit mec de la maison ! « Pourquoi donc maman a-t-elle besoin de ce monsieur qu’elle nomme « chéri » ? En plus, il a 2 filles qu’il nous ramène un week-end sur deux. J’aime pas trop quand elles sont là, elles me piquent mes affaires et je dois faire semblant d’être leur frère. Non, je préfère être seul avec maman, comme avant. Il faut que « chéri » s’en aille de nos vies ! Même si parfois, avant qu’il arrive, j’entendais maman pleurer le soir quand j’étais couché ».
Alicia, 5 ans, ne supporte pas sa belle-mère. Cela fait 3 ans qu’elle et son père sont ensemble. Son grand frère semble l’accepter, mais elle, elle s’y refuse. Elle déteste quand ils se donnent la main ou se font des câlins. Elle ne supporte pas qu’ils passent du temps ensemble alors qu’elle, elle doit se coucher tôt. Lorsque sa belle-mère se place à côté de son père au restaurant, elle se sent triste et jalouse. Quand ils se promènent, elle se dépêche d’attraper la main de son père pour qu’il ne la donne pas à sa belle-mère.
Dans la tête des parents
Votre beau-fils/belle-fille se met systématiquement entre vous et votre moitié ? Il/elle fait des caprices, refuse de vous écouter, vous ignore superbement et accapare votre moitié ?
Il/elle a des propos blessants à votre encontre ? Vous n’arrivez pas à gérer ces comportements ? Pire, vous ne cessez de vous disputer avec votre moitié à cause de cet enfant ?
Vous vous en prenez plein la tête à longueur de journée et cette relation commence à vous peser, car votre moitié ne semble pas décidée à intervenir ? Vous commencez à ressentir des émotions négatives : impatience, agacement, jalousie, colère, tristesse ?
En résumé, l’enfant menace votre couple et votre équilibre émotionnel ?
Mais pourquoi est-il si méchant ?
Oui, pourquoi cet enfant s’acharne-t-il contre vous à ce point ?
Si vous êtes au début de votre relation avec son père ou sa mère
Ne prenez pas personnellement les attaques de cet enfant. C’est plus à votre fonction de beau-parent qu’il s’en prend plutôt qu’à vous-même en tant que personne.
Laissez le temps à l’enfant de s’adapter à cette nouvelle situation. Il a vécu la séparation de ses 2 parents, ce qui l’a à coup sûr perturbé. Et puis vous entrez dans sa vie alors qu’il n’avait pas besoin de vous. Il se sent en insécurité. Et plus il est petit, plus ce besoin de sécurité est grand.
Soyez patient(e), bienveillant(e) et avec votre moitié, rassurez l’enfant sur vos intentions. Dites-lui :
- que vous n’avez pas l’intention de remplacer ni son père, ni sa mère,
- qu’il est aimé,
- que vous formez une nouvelle tribu où il a sa place, au même titre que tous les autres membres.
Passez du temps avec lui, apprenez à le connaitre et à l’écouter. Traitez-le avec respect et mettez en avant sa singularité : chaque enfant de votre tribu est unique.
Ces principes de base vous aideront à développer une relation de qualité avec l’enfant. Soyez persévérant(e), cela ne se fera pas du jour au lendemain.
Si l’attitude hostile de l’enfant dure dans le temps
Analysez votre relation
Prenez un peu de recul sur votre relation avec le parent de cet enfant.
En effet, croyez-vous vraiment en votre relation ? Si vous et votre conjoint(e) laissez paraître le moindre doute, l’enfant le percevra et se sentira en insécurité. Sachant que vous, son beau-parent, pouvez sortir de sa vie du jour au lendemain, il ne s’impliquera pas émotionnellement avec vous. Dans ce cas, montrez à l’enfant que le couple que vous formez avec son parent est solide et stable. Votre conjoint(e) et vous avez tout intérêt à :
- Lui dire que vous vous aimez (en n’oubliant pas de lui dire que vous l’aimez aussi),
- Eviter les disputes devant les enfants,
- Consolider votre couple si besoin,
- Faire du respect une valeur primordiale, pour l’exemple.
Fouillez dans votre passé
Votre histoire personnelle, votre enfance, la culpabilité peuvent également jouer un rôle. Croyez-vous suffisamment en votre rôle de beau-parent ?
Si je prends mon histoire personnelle pour exemple, je me suis rendu compte que je ne m’autorisais pas à être la belle-mère des enfants de mon mari, à trouver et prendre ma place. Pourquoi ?
Car lorsque j’étais enfant, orpheline de mère dès le plus jeune âge, je vivais avec mon père et mes frères. Ma belle-mère est entrée dans ma vie tel un bulldozer et a multiplié les erreurs. Résultat, elle a pris toute la place et a accaparé notre père. Cette situation m’a beaucoup peinée en tant qu’enfant. Si bien qu’en tant qu’adulte et belle-mère, je m’interdisais de me mettre entre mes beaux-enfants et leur père. A tel point que je m’effaçais trop !
Vous pouvez lire mon article sur les comportements à proscrire lorsque l’on souhaite devenir une belle-mère impliquée et bienveillante : Les 5 comportements de la belle-mère “sorcière”
Regardez du côté de l’ex
Il est possible que l’enfant soit influencé par l’ex de votre conjoint(e).
Cela arrive fréquemment. C’est d’ailleurs le cas dans ma tribu depuis des années. L’hostilité de mon beau-fils à mon égard a été très forte pendant plusieurs années à cause de cela. J’en suis arrivée à la solution extrême du désengagement, dont je parlerai dans un prochain article.
Dans ces cas là, et si la discussion avec l’ex est impossible, il vous faut ravaler votre orgueil et considérer l’enfant comme une victime qui n’y est pour rien. Même s’il met tout son cœur à vous pourrir la vie. Il s’agit ni plus ni moins qu’un lavage de cerveau. Ne vous y trompez pas, l’enfant est malheureux, tiraillé, perdu. Tous les conseils de cet article sont alors à appliquer plus que jamais.
Si vous et votre conjoint(e) restez droit dans vos bottes, irréprochables, rassurants et joyeux malgré les difficultés, l’enfant comprendra que le parent médisant a tort. Et bien entendu, interdiction absolue de dénigrer les ex devant les enfants (même si ça vous démange !).
Si c’est un ado
Ben, euh, bon courage ! 🙂
On le sait, l’adolescence est une période qui dure plusieurs années, durant laquelle les hormones modifient le physique et le psychisme des ados. Ils acquièrent un sens critique aigu et remettent souvent en question les règles des adultes. Ils s’opposent aux parents, aux professeurs, aux adultes en général. Pourquoi les beaux-parents seraient-ils épargnés ? Bien au contraire, l’attaque est facile et vous êtes une cible de choix. C’est souvent durant cette période qu’on entend le fameux : « T’es pas ma mère ! ». Je ne l’ai pas encore entendu, mais je l’ai dit quand j’étais ado 🙂
Si l’adolescent se montre virulent avec vous son beau-parent, vous êtes en droit de lui demander de vous respecter et de respecter les règles de la maison. Mais plus que tout, il est primordial que votre conjoint(e) vous soutienne en toutes circonstances face à l’ado hostile. Sans ce soutien, vous avez peu de chances de vous en sortir.
A part serrer les dents et attendre que l’orage passe, on peut aussi espérer en cachette que l’agressivité des ados se retourne contre les parents biologiques plutôt que vers les beaux-parents (oui, je sais, c’est lâche, mais quand on a morflé pendant leur petite enfance, on est en droit de se réjouir un peu de ne plus être la cible principale de ses beaux-enfants 😉 )
Pour plus d’infos sur comment gérer ses émotions face à ses beaux-enfants, lisez mon article Beaux-parents en colère : envie de les emplafonner ?
En résumé
Soyez patient(e), faites du couple parental un pilier inébranlable, communiquez avec les enfants, surtout pour les rassurer. J’insiste sur le fait que le soutien du conjoint(e) est la base. Ensuite, à vous de jouer !
PS: aujourd’hui, mes relations avec mon beau-fils de 14 ans sont au beau fixe ! Comme quoi tout est possible, car on partait de loin ! 🙂
Et vous ? Avez-vous un enfant hostile (ou plusieurs !) dans votre tribu ? Comment gérez-vous ? Avez-vous des astuces à partager ? N’hésitez pas à vous exprimer dans les commentaires ci-dessous.
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Bonjour,
Votre analyse est intéressante mais complètement opposée à ma situation.
Cela m'a pris 12 ans pour que mon ex compagne avoue verbalement ce que j'ai toujours ressenti (redouté) au sein de notre couple par rapport à l'emprise toxique de son plus jeune fils âgé de 30 ans. Son fils aîné est très distant (solitaire) de sa mère, j'ai maintenant compris la raison.
Oui oui, vous avez bien lu, le plus jeune de ses fils âgé de trente ans !
L'histoire serait trop longue à raconter, je vais donc citer quelques échanges de mon pour planter le décor de ce que j'ai vécu durant 12 années.
Au tout début de notre relation (il y a 12 ans), mon beau-fils âgé de 18 ans:
" Écoute, moi je n'ai pas demandé à naître ! C'est donc à ma mère à m'assumer !"
2021, mon beau-fils:
"Je n'ai pas de famille, ma seule famille ce sont mes amis."
2021, mon ex compagne :
"Tu as raison mon Cœur (moi), faisons la paix. Mon fils doit s'envoler de ses propres ailes. Recommençons un nouveau départ avec l'achat de cette maison 🏡 " (c'est moi qui l'ait acheté).
2022, mon ex compagne :
" Tu fais quoi de tes journées !! Il faut terminer rapidement les travaux de finition et vendre afin qu'on puisse s'installer ailleurs pour notre projet de vie de couple (retraite)".
2024, mon ex compagne et son fils:
" On est d'accord, tu vends ta maison et on part s'installer ailleurs comme nous l'avions décidé ensemble (projet de vie de couple – retraite)"
Ma réponse : " Oui, comme nous l'avions décidé tous les deux en 2021, vendre la maison pour nous installer tous les deux ailleurs dans le Sud de la France pour notre retraite."
Mon ex compagne :
" Oui, mais mon fils (30 ans) vient vivre avec nous !"
Son fils de 30 ans: "Normal, je suis son fils c'est à vous de m'assumer."
Ma réponse : " Non, ça n'arrivera jamais ! Tu n'as donc pas d'autres choix que de louer un appartement pour héberger et prendre en charge ton fils de 30 ans jusqu'à la fin de tes jours…"
Mon ex compagne :
" D'accord, je pars pour pouvoir héberger mon fils (30 ans)"
Son fils est parti mener sa propre vie plusieurs fois, mais à chaque fois il trouvait un prétexte (manipulateur) pour revenir s'installer chez nous.
Aujourd'hui, depuis notre séparation, son fils (30 ans) joue le rôle du fils modèle, grand défenseur et protecteur de sa maman (évidemment je suis vu comme le "bourreau").
Son fils est heureux car il a réussi à obtenir ce qu'il a toujours voulu, posséder une mère objet, une mère "esclave" qui va louer un bel appartement pour lui afin qu'il puisse continuer ses "projets" (partir en coloc 1 ou 2 ans chez un ami puis revenir…)
Un fils de 30 ans qui a toujours clairement reconnu, je cite : "Je refuse de vivre avec des responsabilités. Je veux vivre sans aucune contrainte. C'est à ma mère de m'assumer…"
Perso, j'ai tout fait pour tenter de rompre cette emprise destructrice mise en œuvre par son fils sur sa mère, en vain…
A un moment, j'ai cru percevoir un instant de lucidité sur le regard de sa mère quand je lui ai dit :
"Si tu pars pour louer un appartement et prendre en charge ton fils de 30 ans, il sera définitivement foutu ! Tu étais d'accord pour qu'il s'envole de ses propres ailes, et aujourd'hui tu m'as enfin avoué que tu voulais vivre avec ton fils.
J'avais donc raison quand je t'ai dit que j'avais l'impression de vivre notre vie de couple comme une colocation à trois avec une femme (mère) et un homme (son fils)."
Sa réponse a été révélatrice :
"Tu oses m'accuser d'avoir une relation incestueuse avec mon fils !!! Une relation de consanguinité !!…."
C'est à ce moment que son fils de 30 ans est intervenu… Le bouquet final.
Histoire close.
Bonjour , également à bout , cela ne fait que 6/7 semaines que je suis entrée dans la vie de mon chéri et son fils et nous n'avons absolument pas le même modèle d'éducation envers nos enfants respectifs, j'en suis déjà à me demander si je vais tenir le coup, nous nous aimons malgré nos différentes opinions et recherchons à vivre ensemble mais son fils est un enfant pourri gâté, sans frustration aucune, qui ne fait que ce qu'il veut, qui parle à mon copain comme à un chien, je suis perdue,en pleurs en ce moment
Je suis en couplé depuis 4 ans et nous allons bientôt ammenage avec mon conjoint son fils et mes 2 enfants ppur mon fils tout va bien mais ma fille n'a jamais vraiment accepté la famille recomposee mais ça se passait la à 8 ans elle a commencé à faire des crises de nerfs quand on est avec eux à dire qu'elle veut que son papa et moi nous remettions ensemble après 1 consultation psy pour elle on lui a expliqué avec son père que son rêve ne se réaliserait pas mais ça continue on ne voit pas comment aménager ensemble dans 6 mois avec les crises et colères de ma fille elle devient ingerable je suis epuisee et mon conjoint ne veut pas vivre avec nous dans ces conditions je vais essayer qu'elle entame un suivi avec cette psychologue mais si elle est en rejet comme ça est ce que ça peut s'arranger un jour ou vaut il mieux tout abandonner et rester chacun chez soi? Je suis à bout elle est en colère tout le temps c'est épuisant.
Bonjour,
Je suis belle mère depuis bientôt 7 ans, le petit a 9 ans aujourd’hui. Il a des troubles du comportement au point où la juge a pris le décision dès faire un placement temporaire d’un an et nous le voyons un week-end sur 2 . Nous l’avions en garde principale à la maison et nous avons vécu un calvaire pendant plus de deux ans, il se mettait en échec partout (scolaire etc..) et continu aujourd’hui malgré les mesures (même la faille d’accueil n’en peut plus…) et moi rien qu’à l’idée qu’il va revenir au quotidien et que je vais assumer beaucoup plus que mon conjoint me tétanise… ça m’a énormément détruite psychologiquement car nous avons tout fait pour qu’il se sente bien et pour essayer de l’aider à gérer tout ça..: et je n’ai pas envie que tout ça joue sur l’évolution de notre fille de 20 mois… ses crises, ses accès de violences.. plus d’une fois j’ai pensé à la séparation… J’avoue que je ne sais pas quoi faire…
Bonjour,
Mon conjoint et moi avons précipité les choses. Rencontre, grossesse au bout de six mois et cohabitation dans sa maison.
A l’époque son fils avait 20 mois quand nous nous sommes rencontrés. Tout se passait bien avec ce petit garçon. Pendant ma grossesse, j’ai perçu ce sentiment de culpabilité de son père, cette impression de trahir son fils en refaisant sa vie. De ce fait, il a surprotégé son fils. J’ai accepté sur le coup, puisque probablement j’aurais agit de la sorte.
Mais le cauchemar a débuté lorsque j’ai accouché. Son fils alors âgé de bientôt 3 ans a hyper mal réagi à l’arrivée de son petit frère. Il a commencé à faire des crises qui pouvaient durer des heures, à nous taper, nous mordre. Et très vite, lorsque le langage fut plus facile, il a verbalisé sont envie que je disparaisse avec le bébé. Il souhaitait que je me fasse écraser par une voiture pour qu’on ne me revoit plus. Il souhaitait que son petit frère passe par la fenêtre.
Petit à petit, j’ai commencé à faire un rejet de cet enfant, d’autant plus que je le gardais lorsque le papa était au travail. C’était cauchemardesque cette garde où il essayait de s’en prendre à mon bébé.
Beaucoup d’inégalités et de négligence du papa envers notre enfant ont rajouté ce profond ressentiment à l’egard de notre « famille » recomposée. Pour mon conjoint, tout tournait autour de son fils et de la garde partagée.
Depuis 7 mois, je ne le garde plus suite à beaucoup de disputes et en signalant que j’allais devenir maltraitante. Sinon il ne voulait rien entendre, moi, adulte qui devait faire des efforts et accompagner son fils du mieux que je pouvais. Forcément je n’avais pas mon mot à dire puisque j’étais entièrement dépendante financièrement de lui.
Aujourd’hui, son fils se fait suivre par un pédopsychiatre, il va mieux, il verbalise mieux ses besoins. Mais son rejet de cette vie de famille est toujours présent.
De mon côté, j’ai des angoisses terribles la veille de son retour. Je souhaite qu’une chose, c’est de fuire . Je n’arrive plus à créer des liens avec cet enfant. Je le porte responsable, lui et son père de ma maternité chaotique. C’est stupide et horrible de ressentir ça pour un enfant. J’ai l’impression que je suis arrivée à un point de non retour et qu’il est temps que je parte avant de devenir toxique à mon tour.
je suis maman dun ado de 16 ans et belle mere depuis 3 dune ado 13 ans et un garcon 10 ans . depuis le debut de notre histoire, la fille manipule son petit monde , tantot mieleuse et bebe avec son pere , autoritaire et chantage avec son frére . avec moi tantot une femme et apres sa copine ou je ne sais quelle autre personnage . puis elle a commencer à changer les choses de place , se servir de mes produits de beauté puis des vetements qui disparraisent , ensuite le chantage affectif avec ses parents , comedies , menaces etc ….. le petit m'a dit quelle racontait des atrocités sur mon dos dés que j'étais hors de portée mais aussi chez leur mere . elle veut son pérepour elle seule car sa jalousie soriente meme vers son petit frere
à chaque fois mon conjoint me dit que j'amplifie les faits etc cest qune gamine qui ne trouve pas sa place … etc etc toujours à la defendre .
je me suis plus impliquée envers ses enfants en pensant que ca sarrangerait mais maintenant tous les 2/3 mois cest une nouvelle crise et maintenant elle implique mon fils dans ses mensonges. mais mon conjoint la crois dur comme fer .
on envisage de se séparer pour le bien de la majorité cest a dire sa fille .
je baisse les bras , je subis et attends la fin de notre couple …….
Bonjour mon beau fils m envoie des piques, me parle mal, m ignore, et son père fait le sourd et l aveugle. Il ne réagit pas de peur de ne plus voir son fils. Il a essayé de lui parler à plusieurs reprises quand j ai pete un câble il y a 1 ans, en vain. Il lui a demandé ce que je lui avais fait il répond rien. Il a 24 ans. Ça fait 2 ans que ça dure. J en viens que je ne veux plus le voir, tellement c est insupportable. L ambiance à la maison est très pesante. Que me conseillez vous? Je pense à partir définitivement.
Bonjour Gehrmann,
Je comprends ce que vous pouvez vivre et ressentir car votre témoignage fait écho à ce que j'ai vécu.
J'ai fréquenté un homme de 48 ans qui vivait avec son fils de 15 ans (j'ai 50 ans). Au bout d'un an et demi environ, nous avons emménagé tous les 3 dans une jolie maison avec un grand jardin. Mais le rêve a vite tourné au cauchemar. A peine une semaine après avoir emménagé, de violentes disputes ont commencées et j'ai vite compris que je ne n'aurais pas mon mot à dire sur quoi que ce soit. D'ailleurs, lors d'une discussion très tendue, car ce garçon faisait de multiples provocations, allant même jusqu'à dire qu'il était le "maître de la maison", son père m'a dit que c'était à moi de "m'intégrer"! La bonne blague !! Sachant que je payais exactement la moitié du loyer et des charges de la maison, et que j'avais simplement demandé à son fils de fermer une porte (à plusieurs reprises), pour ne pas refroidir la maison en plein hiver.
J'ai tenté de m'accrocher, mais en vain. La situation n'a fait qu'empirer et je suis partie pour préserver ma santé physique et psychique. La situation était devenue tellement insupportable que j'ai repris un appartement et re-déménagee 2 mois après.
Maintenant je me sens à nouveau chez moi. Je n'ai plus à supporter leur hostilité à tous les 2, car le père a pris le parti de son fils même quand il sait pertinemment qu'il a tord (sauf bien sûr quand cela le dérange lui…).
J'aurais encore beaucoup à dire mais ce ne serait trop long ici. Je voulais simplement témoigner pour toutes les personnes qui subissent des situations similaires. Au final, si il faut effectivement bien analyser les choses avant de prendre une décision pour éviter les regrets, il faut aussi penser à se préserver, J'en conclu que si le partenaire ne sait pas faire la part des choses objectivement et ne vous fait par une réelle place dans sa vie, ne perdez pas votre temps. Les enfants grandissent et font leur vie ensuite et ils ne demanderont pas forcément l'avis de leur parents pour faire leurs propres choix. Cela se passe tellement mieux quand tout le monde joue son rôle, malheureusement c'est loin d'être toujours le cas.
Je vous souhaite donc de prendre la meilleure décision qui soit pour vous et courage 🙏
Bonjour, je suis belle maman depuis presque 5 ans (un garçon de 13 ans) et maman d'un garçon de 12 ans.
Début compliqué avec un papa peu démonstratif envers son fils mais beaucoup avec moi (sa nouvelle compagne).. Quelques situations difficiles.. J'ai essayé de parler au père et au fils en même temps pour les rapprocher car j 'ai vu ce manque de démonstration d'amour dès le début, mais le papa a vite repris ses habitudes avec son fils. Ils partagent cependant des week-ends tous les deux et je ne suis pas collée à son papa tout le temps non plus.
Aujourd'hui nous rencontrons un véritable problème car le fils de mon compagnon est jaloux de moi (jalousie avouée) et certainement de mon fils (alors qu'après plusieurs conflits je ne lui dis plus rien ni pour le temps passé sur le téléphone/la TV, ni pour les devoirs.. et que j'exerce mon rôle de maman avec une éducation ferme mais bienveillante avec mon fils qui lui a des règles à respecter), il ment très souvent également (ce qui fait que je n 'ai plus forcément une très grande confiance en lui).
Je suis complètement perdue. A près ce week end où il a franchi une autre limite, son père ne voulait plus le voir et au final c'est lui qui ne veut plus revenir chez nous et voir son père.
Cela fait déjà deux trois fois que j'alerte les parents sur le fait qu'il n aille pas bien mais rien est fait.
Quels conseils pourriez-vous nous donner?
Merci pour votre aide
Bonjour, je suis là belle mère de 2 garçons : 12 ans et 8 ans. Cela fait 5 ans que je suis avec leur père. La fin de semaine a été pénible, Le plus vieu a commencé à enregistrer tout ce qui se passait dans la maison à leur visite. Tout ça pour prouver à leur mère que je suis indigne, et une raison de ne plus revenir. Quand le plus jeune vien seule nous avons aucuns problèmes, mais en la présence du plus vieu, il devien tout simplement différent et influençable. J’ai moi aussi lancé un enregistreur et ont les entend très bien dire, « vien ont va la faire Chier » tout a dégénéré. Ils sont retournés chez leurs mère une journée plutôt. Impossible pour mon conjoint de bien s’entendre avec la mère de ses enfants. Je sais pu quoi faire. Est ce que je devrais tout quitter?
Bonjour Josée, la vraie question est : êtes-vous prête à continuer de vivre cette situation ? Qu’est-ce qui vous ferait rester, qu’est-ce qui vous ferait partir ? Il y a sans doute d’autres solutions avant de tout quitter. Discutez avec votre compagnon, le père des enfants, et agissez ensemble pour faire en sorte que les agissements (enregistrements) des garçons cessent. Vous avez le droit de poser des limites. Un tel comportement chez des enfants de cet âge a de multiples causes possibles. Peut-être ont-ils besoin d’un cadre plus évident au moment du passage à l’adolescence ? Pourquoi ne veulent-ils plus venir ? Autant de questions à se poser avant de prendre une décision que vous pourriez regretter :o)
Bon courage à vous !