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Les 8 erreurs qui condamnent les couples recomposés

Attention, piège

45 commentaires

Les couples recomposés sont sous pression presque en permanence, ce qui les fragilise et menace leur existence ! C’est pourquoi ils n’ont pas le droit à l’erreur !

 

Et pourtant, beaucoup tombent dans les pièges tristement classiques, mais qui pourraient être évités.

Cet article décrit les 8 erreurs qui font que les couples recomposés ne tiennent pas dans le temps !

Faites-vous ces erreurs, vous aussi ? La première ? La cinquième ? Peut-être toutes ?

Garder ses habitudes d'avant

Caroline et Nicolas se sont installés ensemble avec leurs enfants respectifs il y a quelques mois.

Hélas, ils sont déjà au bord de la séparation


Les conflits s’enchaînent, entre eux, entre les enfants, entre eux et les enfants. C’est le bazar absolu. Ils ne comprennent pas comment ils en sont arrivés là. Ils étaient pourtant très motivés. Chacun renvoie la faute sur l’autre sans se remettre en question. Comme beaucoup de couples recomposés...


Nicolas a accueilli Caroline et ses enfants chez lui, certes.


Mais ce qu’il oublie, c’est qu’il n’a rien changé dans ses habitudes, dans les règles et dans sa façon de gérer sa maison.


Caroline a emménagé chez Nicolas avec ses 2 filles, toute heureuse de partager enfin son quotidien avec son amoureux et ses enfants. Malheureusement, elle a vite déchanté.


Ce qu’elle oublie, c’est qu’elle non plus n’a rien changé dans ses habitudes.


Quand les vacances sont arrivées, Nicolas a imposé à Caroline d’aller passer la semaine chez ses parents. Parce qu’il fait ça depuis plusieurs années, depuis son divorce. Tout le monde est content : lui, ses enfants et ses parents. Puis c’est pratique et moins fatiguant pour Nicolas. Ses parents prennent le relais pour s’occuper de leurs petits-enfants. Pourquoi diable changer ?


Évidemment, Caroline n’a pas vu les choses sous cet angle. Elle aimerait partir sans les parents de son conjoint, et surtout pas chez eux.


Le résultat est là, au bout de quelques mois, 2 familles cohabitent dans une maison, en imaginant n’en former qu’une.


Ne rien changer de ses habitudes à la maison, en vacances et en ce qui concerne l’éducation des enfants mène les couples recomposés à la rupture.


C’est illusoire de penser que cela peut durer dans le temps. Utopique d’attendre que l’autre s’adapte par mimétisme à ses propres règles. Un minimum de discussion et d’organisation est nécessaire.


Chacun doit faire des concessions pour que les habitudes s’harmonisent. Pour devenir une famille.


Bien sûr tout cela prend du temps. Alors pour s’accorder le plus vite possible, chers couples recomposés, autant en discuter dès que possible.

Mais avant tout, il faut être prêt à changer ses habitudes. Pour en créer de nouvelles, communes, fédératrices.

Ne pas respecter le rythme de l'autre

Rythmes différents

Dans le couple recomposé, il arrive souvent que l’un des deux soit beaucoup plus impatient que l’autre. Pour les grands événements comme pour les petits. Comme s’installer tous ensemble, faire un bébé, se marier. Ou bien partir en vacances.


Et d’après vous, qui des deux est plus impatient en général ? Bingo, c’est souvent la belle-mère !


Vous vous reconnaissez ? Vous n’avez jamais mis la pression à votre compagnon pour qu’il vous présente ses enfants plus vite ? Pour qu’il accepte que vous vous installiez ensemble ? Pour faire un bébé ? Oui, le dernier, celui en commun, qui soudera toute la famille et votre couple…


Cependant, vous pourriez rétorquer : “Oui, mais c’est lui qui est trop lent !”  Tout est une question de point de vue, n’est-ce pas ?


Le père, englué dans sa culpabilité, freine des 4 fers pour imposer le moins de turbulences à ses enfants. En effet, ceux-ci ont déjà vécu assez de traumatismes suite à la séparation de leurs parents. Il sépare les choses : ses enfants d’un côté, sa nouvelle compagne de l’autre. Il n’est pas prêt à tout mélanger.


Ce comportement a des conséquences sur la belle-mère, qui se sent souvent mise de côté, voire invisible !


De même, le beau-parent peut avoir la fâcheuse tendance à mettre la charrue avant les bœufs en ce qui concerne l’autorité sur ses beaux-enfants. Tant que la famille n’habite pas sous le même toit, et pendant les premiers mois de la relation, il vaut mieux laisser au parent l’exercice de la discipline sur ses enfants.


En revanche, rien n’empêche d’instaurer des règles communes, mais chaque parent joue le mauvais rôle aux yeux de sa propre progéniture ! C’est plus confortable pour le beau-parent.


En résumé, les rythmes différents peuvent créer des conflits au sein des couples recomposés. Chacun doit pouvoir faire un effort vers l’autre :

  • mettre moins de pression pour celle qui veut aller plus vite,
  • se projeter davantage pour celui qui préfère aller doucement…

La communication reste le meilleur remède.

Négliger le couple

Les couples recomposés sont les piliers

Les couples recomposés l’oublient souvent, mais la famille recomposée existe parce qu’il y a un couple.


Vous vous imaginez vivre avec un homme uniquement pour être la belle-mère de ses enfants ? Non, ça n’arrive jamais !

Vous aimez un homme, vous souhaitez être avec lui, partager votre vie avec lui. Et donc, parce qu’il a des enfants, et/ou parce-que vous avez des enfants, vous formez une famille recomposée.


Comme les enfants sont sous la protection de leurs parents, les couples recomposés les placent en haut de la liste de leurs priorités. Mais c’est un mauvais calcul !


Plus que dans toute autre famille, les couples recomposés sont fragilisés par la présence des enfants, par leur sensibilité exacerbée, par les rythmes en pointillés, par les emplois du temps variables, par la pression des ex, de la société, etc.


Tant de menaces qui pèsent au quotidien sur leur entente, leur intimité, leur solidité.


Or pour que les enfants aillent bien, il faut d’abord que le couple aille bien. La stabilité d’un couple uni, solide et qui passe en priorité les rassure.


Alors prenez soin de votre couple. Donnez-lui toutes les chances d’être solide et uni :

  • Dès le début de votre vie en famille recomposée, expliquez à vos enfants que votre compagne / compagnon est votre amoureuse / amoureux. Qu’en tant que tel.le, ils doivent l’écouter et la/le respecter. Pas d’impolitesse ou de vulgarité.
  • Au maximum, créez des petits moments d’intimité dans la journée (boire un petit café pour discuter / échanger, se câliner) en demandant aux enfants de faire une activité entre eux ou seuls,
  • Faites du sport ensemble, même à la maison (tous les sports…)
  • Organisez des sorties à deux, même quand vous avez vos enfants et sans culpabiliser ! Si si, c’est possible ! Quand on veut, on peut !

Se croire seul.e

Pour former une équipe gagnante, il faut être à l’écoute de son partenaire.


Prenez les matches en double pendant les grands tournois de tennis. Imaginez que les 2 coéquipiers ne se regardent pas, ne se parlent pas. Ils ont pourtant le même objectif : battre leurs 2 adversaires.


Mais comme ils ne communiquent pas, ils se gênent sur le terrain, courent tous les deux vers la balle, se heurtent, se cognent, se filent des coups de raquette, et finissent par se faire tomber. Et perdre le match de leur vie. Impensable non ?


Pour les couples recomposés, même combat !


Or, de nombreux témoignages de lectrices du blog me parviennent : elles ressentent beaucoup de solitude et de frustration dans leur rôle de belle-mère et de femme.


Malheureusement, leur compagnon n’est pas à leur écoute. Elles ne se sentent pas soutenues. Petit à petit, leurs émotions et leurs difficultés deviennent tabou. Elles se referment, perdent confiance en elles et en leur conjoint. Au final, l’équipe se fissure et fragilise le couple.


Soyez présent.e pour votre partenaire quand il en a besoin. Écoutez, anticipez ! Soyez solidaire ! Vous renforcerez votre couple et l’amour qui vous lie. Apprenez à parler le langage de l’amour de votre chéri.e.

Éviter les sujets qui fâchent

Parler des sujets qui fâchent

Prendre des antidépresseurs soulage les symptômes de la dépression. Mais ils ne permettent pas de traiter la cause. Faut-il pour autant prendre ces médicaments toute sa vie, avec tous leurs inconvénients et effets secondaires ? C’est un cache misère.


En d’autres termes, c’est glisser la poussière sous le tapis. Ne pas aborder les sujets qui fâchent quand on forme un couple recomposé revient au même. Inévitablement, ils vont remonter à la surface et empoisonner votre vie.


Quels sont donc ces sujets délicats qui ont un potentiel destructeur pour les couples recomposés ?


Le premier est sans aucun doute l’argent !

Les habitudes financières de chacun sont déterminantes : êtes-vous dépensier.ère ? Mettez-vous de côté tous les mois ? Prévoyez-vous de mettre vos enfants dans des écoles privées ?


Ensuite viennent les projets du futur, qui se mêlent à l’argent :

  • Achat d’un bien immobilier en commun ?
  • Mariage ? Et si mariage il y a, ferez-vous un contrat ?
  • Testament ?
  • Un ou plusieurs autres enfants ?


Évoquer ces sujets n’est pas toujours très glamour, surtout pendant les premiers mois de la relation. C’est pourtant utile. Au moins un de vous deux, voire les deux, a vécu une séparation ou un divorce. Vous savez donc que ces sujets épineux ne sont pas anodins et que la relation de couple s’épanouit davantage quand ils sont bien clairs pour tout le monde.

S'oublier soi-même

Etre soi-même

Combien de belles-mères vont se retrouver dans ce qui suit ?


Vous avez l’impression qu’en tant que belle-mère, vous vous épuisez et n’obtenez presque rien en retour ?

Pas de considération, pas d’affection, pas d’attention ?


Pourtant, vous passez votre temps à essayer de plaire à tout le monde dans cette famille.

Vous mettez un point d’honneur à ce que tous les enfants de la tribu soient heureux et satisfaits ?

Vous mettez constamment vos propres envies de côté. Pire, vous n’osez pas dire non. En fin de compte, vous agissez à contrecœur


En tant que femme, même scenario.

Vous voulez faire plaisir à votre compagnon, alors vous marchez sur des œufs sans arrêt pour éviter les conflits. Après tout, il en a déjà assez avec son ex, vous n’allez pas lui en rajouter !


Sauf que vous n’êtes pas la nounou de ses enfants ! Vous êtes son amoureuse ! Vous avez un statut particulier !


Attention, vous vous effacez, vous vous rendez invisible. Vous oubliez vos valeurs et laissez les autres piétiner vos limites.


Réagissez ! Redéfinissez vos limites et faites-les respecter. Si vous ne vous respectez pas vous-même, comment les autres pourront-ils le faire ?


L’oubli de soi est un piège terrible pour les couples recomposés (pour tous les couples en fait !).

Laisser trop de place à l'ex

Laisser l'ex prendre trop de place
  • "Je ne veux pas que l'autre s'occupe de MES enfants !"
  • "Tu les as voulus, alors tu t'en occupes ! Tu ne les mets pas chez tes parents pour te la couler douce avec ta greluche !"
  • "Je veux que mes petits trésors soient couchés à 20h30 tous les soirs ! Tu leur lis une histoire avant bien entendu."
  • "Pas question que ce soit quelqu'un d'autre que toi qui vienne récupérer les enfants ! Sinon, tu ne les verras pas !"
  • “Je les appellerai tous les jours, fais en sorte qu’ils soient disponibles !"


Chantage, insultes, intrusions, agressivité, autoritarisme, manipulation…


Non, non, non, et non ! La mère des enfants n’a pas tous les droits !! Messieurs, réveillez-vous ! Ne laissez pas votre ex décider à votre place de ce qui est bien pour vos enfants quand ils sont avec vous.


Que la mère de vos enfants se pose des questions sur ce qui se passe chez vous, c’est normal. Vous pouvez la rassurer. Qu’elle discute avec vous à propos de l’école et des décisions importantes pour les enfants, c’est normal et légitime. Prenez le temps pour ces échanges.


Mais qu’elle vous dicte quoi faire, qu’elle s’immisce dans votre vie de couple, qu’elle envahisse votre espace, qu’elle insulte vos proches, vous-même et votre compagne, qu’elle vous harcèle et vous menace de vous enlever les enfants, c’est intolérable ! Si vous culpabilisez, elle vous mènera par le bout du nez !


Pour le bien de vos enfants et de votre couple, soyez ferme !


Vous devez protéger votre compagne, qui va indiscutablement souffrir de ces comportements déviants. A la longue, elle peut perdre patience, s’épuiser et renoncer.


La meilleure arme contre les abus, c’est d’abord le jugement. En effet, à défaut d’accord, il prévaut.


Ensuite, c’est la fermeté et la sérénité. Si vous êtes sûr de vous et de vos capacités parentales, vous ne lui laisserez pas ce pouvoir de nuisance sur votre vie. Votre ex ne peut pas vous priver de vos enfants.

L'idéal est malgré tout d'entretenir une coparentalité sereine avec la mère des beaux-enfants. 

Tolérer certains comportements inadmissibles

Quand les proches jugent

Nathan, 8 ans, va voir son père et lui demande :  “Elodie (sa belle-mère depuis des années), elle n’a pas de parents ?”

Son père, étonné, lui répond : “Mais si, bien sûr ! Pourquoi ?”


Nathan : “Parce qu’on ne les a jamais vus ! Comment ça se fait ? C’est aussi mon papi et ma mamie non ? Parce que mon copain Mathéo, il dit que lui aussi il a une belle-mère, et que ses parents sont comme des grands-parents normaux. Il va même en vacances chez eux parfois ! Et ils lui offrent des cadeaux !”


Le père, gêné, ne sait plus quoi dire !

Pourtant, il savait que cette question surgirait à un moment ou à un autre !


En effet, comment dire à son jeune fils que les parents de sa femme Elodie ont toujours refusé de les rencontrer, lui et ses deux enfants issus d’un premier mariage ?

Comment justifier un tel comportement ?

Cet enfant pourrait-il comprendre que les parents d’Elodie n’ont pas supporté le divorce de leur fille ?

Et qu’ils continuent de fréquenter leur ex-gendre ?

Comment ne pas heurter sa sensibilité d’enfant, alors qu’il s’efforce chaque jour de lui enseigner la tolérance ?


Comment Nathan pourrait-il imaginer que des adultes ne veuillent pas le rencontrer ? Qu’a-t-il fait pour mériter ça ?


Le père de Nathan se demande souvent pourquoi Elodie accepte d’aller rendre visite à ses parents, sans lui et ses beaux-enfants. Comment elle tolère les photos de son ex et elle encore accrochées aux murs de sa maison d’enfance, témoins de son ancienne vie. Que ses parents laissent bien en vue, comme une provocation, une punition.


J’ai reçu des témoignages de belles-mères dont les nouveaux beaux-parents les jugent, les comparent à l’ancienne, font des différences flagrantes entre leurs petits-enfants et “les autres enfants” !


Tout cela sans que le compagnon ne dise rien à ses parents ! Comment tolérer cela ? Au delà du préjudice pour les enfants, comment les couples recomposés peuvent-ils survivre à cela ?


Cette situation, je ne l’invente pas. Je l’ai moi-même vécue. Je n’ai jamais rencontré le père de ma belle-mère. J’ai vu sa mère 2 fois. En 35 ans. Aujourd’hui ils sont tous les deux décédés. Je ne sais même pas pourquoi ils ont refusé de nous rencontrer.


En tant qu’adulte, je ne laisserai personne me faire du chantage affectif à cause de mes choix amoureux !


Amis, parents, famille lointaine ne doivent pas mettre à mal votre couple, juste parce-que vous formez une deuxième famille !

A moins que vous soyez un criminel en cavale, une personne violente ou tordue, rien ne justifie une remise en question de vos choix.


Construire une famille recomposée est déjà assez difficile comme ça ! Manquerait plus que les proches s'y mettent !


Et vous ? Est-ce que ces 8 erreurs vous parlent ? Sont-elles une menace pour votre couple ?


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  1. bonjour
    je suis très contente d'avoir découvert votre blog….et je rejoins complétement tous vos conseils
    je suis actuellement dans une situation conflictuelle avec mon conjoint, qui ne supporte pas ma fille de 18 ans. et oui j avoue , elle est pénible.
    j ai beau essayé toutes les "méthodes", mais ca ne s'arrange pas.

    j 'essaye de canaliser ma fille pour ne plus créer de situation de conflit mais une ado reste une ado !!
    du coup je me sens coupable de ne pas y arriver et que ça agace mon conjoint.

    et d'un autre coté, il m'agace terriblement car je propose des solutions pour apaiser la situation , prévoir des moments ensemble, discuter , etc…
    il reste bloqué et n'arrive pas à "vider la coupe" qui est déjà pleine. j essaye de lui expliquer que chacun dois y mettre du sien….mais j'ai l'impression qu'on tourne en rond….il n'arrive pas a exprimer son ressenti si je ne le questionne pas fortement…..donc accumule de la rancœur
    j ai l'impression d'être dans une impasse …..

  2. Bonjour a tous.

    Voilà je suis en couple depuis 3 ans passé, nous vivons à 5 depuis plus d'un an, ma compagne ses deux filles, moi et mon fils.
    J'ai une relation très très compliqué avec mon ex la mère de mon fils) qui esr partis pour un autre a l'époque et a eu également deux autres enfants de son côté et malgré un JAF très respecter d'ailleurs, dès que je prévois quelques choses de mon côté avec ma famille recomposée, elle a le dont pour pourrir nos événements ou prendre son fils le moins possible des qu'elle le peut, je prend mon fils avec qui je suis fusionnel toujours avec grande joie, mais dès que je demande le renvoi de la balle pour une ou deux journée, j'ai le droit a des non le jugement ne dis pas ça, c'est ta semaine, c'est pas mon problème etc etc. Ce qui a le dont de pourrir ma vie de couple, des tensions, des prises de tête et je vous épargne les différents.
    A ce jour cette personne ne fera jamais d'effort, de concession ou de bon sens pour son propre fils et me mettre des bâtons dans les roues sur tout mes projets futur dans ma famille recomposée et nous savons l'importance des projets en familles et a deux aussi, je suis déboussolé perdu avec le sentiments de ne pas faire les choses correctement pour mon fils mes belles filles, ma femme, et ma famille recomposée
    Help me je suis a bout et peur de la rupture a cause d'elle et cet égoïsme
    Romain

    1. Bonjour Romain, merci pour votre partage. Vous et votre ex avez sans nul doute des priorités différentes, surtout depuis que vos chemins se sont séparés. Quand des compromis sont impossibles à trouver, ou que c’est toujours le même qui fait les efforts, il est parfois plus sage de s’en tenir au jugement. Ne faites plus rien dans l’espoir qu’elle vous rende la pareille. Vous vous mettez en position d’attente, et d’après ce que vous écrivez, cela ne vient pas. Donc, faites ce qui est le mieux pour vous, pour votre relation avec votre fils et pour votre famille recomposée. Vous n’avez aucun contrôle sur les décisions de votre ex. C’est le lot des parents séparés, il faut accepter de lâcher prise sur certaines décisions que prend l’autre parent. Cela ne fait pas de vous un mauvais père, bien au contraire. Dans votre cas, assurez-vous que quand vous avez votre fils, il soit dans un foyer stable et harmonieux. Quand c’est le tour de votre ex, elle doit gérer de son côté. Il y a des parents qui arrivent à s’entendre et s’éloigner du jugement. Mais il faut que ce soit équilibré. Si vous vous senté lésé, c’est que cet équilibre n’y est pas. Mettez votre relation avec votre fils au centre de vos priorités, indépendamment de la mère… Vous pouvez donc essayer de vous en tenir au jugement, au moins c’est clair et vous pourrez organiser vos projets familiaux et amoureux en fonction. Bon courage, car je sais que ce n’est pas facile !

    1. Bonjour ! A vous de voir avec votre conjoint, ce qui vous convient à tous les deux. Il n’y a pas de règles, c’est comme vous le souhaitez. Tant que vous passez un bon moment de qualité en couple, sans parler des sujets qui fâchent ;o)

  3. Bonjour,

    Je vis chez mon compagnon depuis 2 ans, sa fille de 21 ans ne m aime pas. Elle faisait des études loin de chez nous et revenait que quelques fois ( en mode, je suis à l hôtel et je ne fais rien) .
    Elle a finit ses études et reviens chez nous mais elle est insupportable.
    De leve tard, ne mange pas avec nous et mange ce qu elle a envie. Me parle mal. Ne range rien…. son père ne lui dit rien car il a peur de la perdre …
    Sa plus jeune fille fait tout pour nous séparer également ( 13 ans), j ai essayé de mettre des règles d hygiène et de rangement dans la maison mais personne ne respecte rien…
    Je commence à saturer, que dois je faire svp?
    Merci de votre aide.
    Mon compagnon est un homme génial, gentil et courageux mais je ne me sens pas du tout soutenue…

  4. C'est très utile. Je l'ai partagé la ligne pour mon mari qui avait 3 enfants dans son précédent union. Mon mari a toutes les eurreurs que vous avez mentionné. Moi? Exactement que j'étais trop gentil et ça fait les mauvaises choses et les stress pour ma vie pendant 10 ans, même j'aime toujours mon mari.

  5. Mais pourquoi ne parlez-vous que des mères qui auraient un comportement intrusif ? Les pères sont tout à fait susceptibles de le faire aussi.
    Votre article manque sérieusement de nuances et de profondeur à mon sens.

    1. Bonjour Marion
      Vous avez tout à fait raison, il y a aussi des pères intrusifs. J’en connais. Alors pourquoi je n’en parle pas ? Parce que ce n’est pas le thème de mon blog. Tribu Radieuse est un blog dédié aux belles-mères, et en tant que sa créatrice, j’y mets ce que je veux (je ne suis pas journaliste). Je suis désolée que cela ne vous convienne pas. Mais je suis sûre qu’en approfondissant vos recherches, vous pourrez trouver d’autres blogs qui parlent des pères intrusifs.
      Cordialement,
      Anne-Laure

  6. Moi je me suis remise avec un homme qui a trois enfants qui m adorent et moi j en ai deux nous sommes ensemble depuis 3 ans et demis vivant chacun chez nous nous avions eu un moment le projet de vivre ensemble donc au début il chercher comme moi une maison et après plus rien de même pour le projet fiançailles au début motiver et après plus rien plus aucune participation au projet donc j ai tout annuler suite a l annulation de la salle qu ont ne pouvais plus avoir cause de problème avec cette salle) et j ai remarqué a deux reprise qu il prend des congés juste quand il a ses enfants sinon quand il est avec moi dit devoir bosser pour ne pas perdre d argent et quant il prend ses congés au moment où il a ses enfants jamais il ne m en fait part ou m en parle il n'a jamais présenté mes enfants a sa mère moi de mon côté si mon père a vu les siens et ils fêtes au Noël sur deux avec nous chez mon père et pareille son ex l app pour un oui ou pour un non quant elle a des soucis avec son nouveau compagnon j ai l impression d être de trop de ne pas avoir de place dans sa vie même si quand il n'a pas ses enfants et qu il vient chez moi il est adorable avec moi et mes enfants mes j ai l impression d être juste une option quant il n'a pas ses enfants et sa me fait mal et pour le logement il m'a dit qu'on verra l année prochaine je lui ai répondu que je laisser tomber ne me rendrais plus malade pour quoi que ce soie .voilà je ne sais plus quoi faire ni quoi penser ou si le problème ne viens pas de moi.

    1. Bonjour Sonia, vous êtes dans la situation très inconfortable de la personne qui attend… Dans ces cas là, la relation est inégale, déséquilibrée. Si vous vous positionnez clairement, affichez clairement vos intentions, communiquez avec transparence, il n’y a pas de raison que « le problème » vienne de vous. D’après ce que je lis, votre conjoint ne se positionne pas clairement, n’est pas transparent, ni avec vous, ni avec son ex, ni avec les enfants, ni avec lui-même. Il a le droit d’être perdu, de ne pas savoir où il en est, d’avoir peur de s’engager… La communication est la meilleure des solutions : exprimez-lui vos besoins, et demandez-lui d’être honnête avec vous (et avec lui-même par la même occasion). Ne restez pas dans cette attente insupportable, pensez à votre bien-être. Bon courage !

  7. Bonjour,

    Mais vous n'expliquez rien sur les femmes ou les hommes qui ne veulent pas des enfants des autres dans leur nouvelle relation.
    Comment peut-on vivre cela ?
    Comment peut on convaincre son partenaire?
    Doit on se séparer pck on a des enfants?
    Comment doit on se comporter?
    Expliquez nous

    1. Bonjour Sam, je ne suis pas sûre de bien comprendre votre demande. Vous me demandez d’expliquer comment vous devez vous comporter avec une personne qui refuse vos enfants dans sa vie ? Si telle est votre demande, voici ma réponse : Je n’ai pas à vous dire comment vous comporter et à juger la situation que vous exposez (si je l’ai bien comprise).

      Ce blog est dédié aux familles recomposées et met en avant certaines valeurs, dont la valeur « famille ». Dans famille recomposée, il y a le couple (dont au moins un des deux est parent, ce qui implique des droits, mais aussi des devoirs) ET les enfants. Le fait de devoir protéger ses enfants et leur garantir, entre autres, la sécurité sous toutes ses formes n’est pas une option. Au parent de définir ses limites, ce qu’il tolère, et faire ses propres choix.

      A toutes les lectrices du blog : comment réagiriez-vous si votre nouveau conjoint, dont vous êtes très amoureuse, vous disait : « C’est moi ou tes enfants ! » ?

  8. Bonjour

    Alors moi je suis aussi dans une situation très compliquée actuellement ancien pompier de Paris pour une femme j’ai arrêté ma carrière.
    Beaucoup vont me dire que ça était un choix assez tordu mais comme on dit l’amour rend aveugle et fait parfois faire des erreurs dans nos vies
    Je suis actuellement avec une femme depuis plus 1 ans qui a un petit garçon de 5 ans.

    Au début de notre relation je trouvais que c'était une relation qui me donner la force de tout claqué pour cette nouvelle vie.
    La personne avec qui je suis à une relation trop malsaine avec son ex comme je cite ( l’appeler pour un problème de lave linge) plus on avance dans notre relation plus je trouve qu'elle se fait pousser des ailes entre guillemets.

    Avec les relations très fusionnelles qu’elle a avec son petit je finis par ne plus avoir de place dans la relation elle finit par penser qu'a lui dans tout ce qu’on fait dans la journée.
    Il est tout le temps dans ses bras et se tient h24 là mains ce qui ne me permet pas d’avoir du temps avec ma conjointe

    Quand j’en discute avec elle la réponse habituelle c’est : tu as cas t’imposer et tu as cas me le dire quand tu veux passer du temps avec moi.
    Vous pensez bien que rester dans une situation aussi mal équilibrée ça ne va pas tenir.. je lui en ai parlé déjà plus d’une fois mais rien ne change

    Donc clairement on est au bord de la rupture plus le temps passe plus je sature plus je m’isole plus je pense arrêter.

  9. Bonjour,

    je fréquente une femme depuis 1 an qui a une fille (13 ans) et divorcée depuis 3 ans.

    Lorsque sa fille a sue pour nous, elle ne l'a pas acceptée (je peux le comprendre).

    Elle est devenue insupportable avec sa mère au point de tout faire pour que cela ne fonctionne pas jusqu'au jour où elle est partie vivre chez son père.

    Cela fait fait plus de 5 mois et elle ne souhaite pas revenir si ce n'est à ses conditions à elle ce que sa mère n'accepte pas et heureusement.

    MAIS, il y a toujours un mais, elle craque et souffre énormément de ne plus voir sa propre fille.

    Elle veut faire une pause (pour moi c'est l'antichambre de la rupture) car elle n'arrive pas à être épanouie dans cette situation.

    J'en souffre même si je lui suis reconnaissant d'être franche donc je prends mes distances comme elle le souhaite.

    Son père est un PN selon elle et ça y ressemble, la petite est totalement sous emprise.

    Avez-vous quelques conseils ?

    Merci d'avance.

  10. Mon compagnon m'a quitté parce que sa fille me rejette complètement avec son fils aîné et ils m'insultent. Depuis on est en conflits permanent depuis trois ans de relation.

  11. Bonjour,
    Pour ma part, cela fera 6 ans cette année que je suis avec mon ami. Je vis avec lui depuis 5 ans et le sujet conflictuel est mon manque d'autorité sur ma fille. Mon rôle de mère est toujours remis en cause. Elle a 16, ans, il est vrai manque de maturité mais elle est ado, certes il faut que je lui rappelle de faire ceci ou cela mais c'est une fille gérable.
    La table a une trace, ses chaussettes d'équitation sont mal nettoyées, l'aspi n'est pas bien passé etc … il saura le lui rappeler.
    Donc il vient vers moi pour me dire ce que je compte faire, la sanction…
    J'avoue que c'est agaçant même si j'en ai assez de répéter pour ma fille. J'ai le c… entre 2 chaises.

    1. Bonjour,
      Je pense que votre ami ne veut plus de cette vie là.
      Séparez-vous et rechercher votre vie ailleurs.
      A rester sous cette chape de plomb, on peut finir par en tomber malade. Il faut vous échapper.
      La vie et ces "familles recomposées", c'est un merdier sans nom, c'est dur, mais c'est à cause de l'affect qui nous piège à des moments plus ou moins fragile de notre vie.
      Des connards, et des connasses, il y en a partout, et malheureusement, parfois, à force d'en subir, on peut le devenir à notre tour le temps qu'une certaine fumée se dissipe. C'est un enfer, pour soi et pour les autres. Mais quel monde de fou dans lequel on vit !
      Il n'y a pas de remède, il n'y a pas de règle en général dans ce domaine, il n'y a pas de solution.
      C'est du loto en fait, tant que ça marche, alors ça va, mais le jour où ça commence à coincer, c'est le début des pages noires, le début de la fin, et ça va finir par sentir le sapin, donc il faut partir, vite. Très vite.
      Tout est question de chance, c'est au petit bonheur la chance, et la chance, elle se fait très rare, timide, elle se cache, elle peut apparaître un peu, un petit instant, quelques années d'une vie, puis elle s'en va.
      Vivez, réapprenez à prendre soin de vous, à vous estimez, car ces enfers détruisent, ils peuvent tuer moralement (et à feu lent, digne d'un supplice chinois).
      Bon courage à toutes ces personnes qui ont essayé. Moi je n'y crois plus. Et à la fin, celles et ceux qui vous détestaient (gratuitement, et parce que vous avez été le choix de votre partenaire), vous allez finir par les détester aussi à votre tour.
      Alors pensez plutôt à vivre et à prendre soin de vous, sans vous égarer non plus, car des pièges, il y en a de plus en plus.
      Mais quel enfer ces "relation couple recomposé", ce n'est pas une famille, c'est un amalgame de divers schémas, souvent étayés par des psychiatres, qui ont pour objectif de trouver des solutions pour continuer à faire fonctionner une société de consommation qui part dans tous les sens, et dans laquelle ils font tout pour "sauver le présumé moral des ménages", qui n'est qu'une estimation de combien d'argent possède un ménage…
      Voilà le prétendu bonheur des français (…), c'est le montant indiqué sur vos comptes bancaires.
      Courage.

  12. On parle souvent de la belle-mère maltraitante. A quand un sujet sur les "beaux"-enfants maltraitants ? Accepter les enfants de son ami revient à vivre avec l'ex de son ami sous le même toit. Quant aux nouveaux "pères" dans le déni, à l'instinct maternel sur-développé leur faisant perdre toute lucidité et objectivité et qui protègent leurs progénitures comme des lionnes sanguinaires. Tout est passé sous silence et gare à celle qui l'ouvrira (!) : le nouveau conjoint, la belle-soeur, le beau-frère, les beaux-enfants, les parents sauront lui rappeler sa place de "number 2". Les beaux-enfants fourbes et manipulateurs se sentant intouchables profitent avec malignerie de la situation jusqu'à faire accuser la belle-mère de toute les horreurs inimaginables. J'ai déjà rangé sous le tapis le concept de la famille recomposé aussi markété et inexistante que la famille classique parfaite. On ne reconstruit jamais un nouveau couple, on reconstruit quelque chose d'autre, de totalement différent qu'on appelle "couple" pour dire qu'au delà des charges communes partagées, on couchent ensemble.

  13. Bonjour,
    vous parlez de l’ex envahissante… mais la nouvelle compagne envahissante ?
    Le problème c’est que quand une nouvelle famille recomposée se créée, l’ex femme en l’occurence, doit subir des changements alors qu’elle n’a rien demandé personne. Quand mon ex mari s’est installé avec sa nouvelle compagne, il a commencé à m’imposer un nouveau rythme de garde et ne m’a plus donné de nouvelles des filles pour ne pas vexer sa nouvelle compagne… ah c’est sur il a tellement bien protéger sa compagne que c’est elle qui mène la barque et qu’il se défoule sur moi. aujourd’hui je n’ai plus aucune nouvelle de mes filles quand elle sont chez leur père et il m’éloigne de décisions médicales et scolaires. En gros je suis rayée de l’équation… sauf bien sûr s’il a besoin de moi.
    Je suis belle-mère également et en aucun cas je ne dépasserai les limites que la compagne de mon ex-mari dépasse allègrement (signer les cahiers des enfants, choisir avec elles des lunettes, leur couper les cheveux), j’aime les enfants de mon conjoint, je m’occupe d’eux et nous nous entendons très bien mais jamais je ne prendrai la liberté de faire cela, c’est à une maman ou un papa de le faire mais surement pas au beau-père ou à la belle-mère.

    1. c est un equilibre difficile a définir finallement et ce sont des règles quu qui doivent etre discutées. moi j ai lache l affaire c était trop lourd coups de fil de lnex femme le dimanche a 8h. sms permanents…'(plusieurs par jour)..
      et c est moi qui ait paye les frais. il ne lui posait jamais dr limites car il a peur de perdre ses enfants. Au moment de notre rupture elle avair decide de déménager en banlieue alors qu ils sont en garde alternée. rien a faire de retirer ses copains aux enfants et leur environement. De rendre les choses difficiles a leur pere qui est un bon perepeu importe les différents qu ils ont eu’Si j avais emménagé avec lui j aurais du subir aussi cela. Cela m a rendu amère et triste alors qu on s entendait parfaitement et avec les enfants aussi Ca a condamne notre relation

      1. Tout est si compliqué dans une famille recomposée…
        Perso j’ai cadenassé la plupart des chose lors de mon divorce pour mes enfants et je me retrouve à dépendre du bon vouloir et des humeurs de l’ex de mon conjoint…
        Au final comme vous, je suis avec qq1 avec qui je m’entends très bien mais au final une distance se crée…
        Les disputes incessantes entre les enfant pour des broutilles. Mon conjoint étant très poupoule avec sa fille ça devient difficile…
        Aujourd’hui, il prend son rôle de justicié pour sa fille même envers moi alors que j’essaie de rester neutre et juste…
        Chaque situation est différente mais j’ai l’impression que c’est compliqué dans tous les cas….

  14. Bonjour,
    Moi j’ ai une fille ça fait 5 ans que je suis avec mon conjoint qui a une fille d’ une première union et un enfant avec moi…
    Depuis 3 ans maintenant il est toujours sur le dos de ma fille pour un oui pour un non j’ ai l impression que pour lui c est un Plaisir… Tous les jours c est le même scénario lui reproche de manger des gâteau quand elle ouvre le frigo pour prendre un yaourt elle se fait disputé..fait beaucoup de différence entre sa fille et la mienne sa fille il ne lui met pas de limite et lui dit oui à tous elle a le droit de tout. Sauf que ma fille qui a 11 ans ça l as blessé ne supporte plus sa méchanceté et moi non plus d ailleurs je l ai menacé de le quitter m as dit qu’il changerais mais il recommence elle est très malheureuse Je ne sais plus ce que je dois faire pour que ça aille ça me rend malheureuse c est devenu invivable au quotidien qu est que ce que je dois faire pour calmer un peu les tensions…merci de m aidé… Une maman en détresse.

    1. Bonjour,
      Je vous comprends tellement.
      J’ai 2 filles 9 et 16 ans et mon conjoint 1 fille de 6 ans.
      Ma fille de 9 ans et mon conjoint sont partis en guerre! C’est très pénible au quotidien. J’ai la boule au ventre quand elle revient 1 semaine sur 2 même si je suis heureuse de la retrouver car je sais que les conflits vont reprendre.
      Les 2 petites se disputent sans cesse. Beaucoup de jalousie pour les jeux et la plus petite est très exclusive avec son papa du coup la mienne fait des crises de colère. Elle pense qu’il ne l’aime pas et vice versa.
      Mon conjoint me dit qu’il fera des efforts quand elle en fera… Je ne sais plus quoi faire car je suis tiraillée entre 2 personnes que j’aime mais qui ont en fait un peu le même caractère explosif….
      Bon courage à vous. J’espère cela va s’arranger…

    2. Bonjour

      pourquoi vous ne lui dites pas que ce n est pas a lui de lui faire des reflexions a votre fille et qu il la rend malheureuse!lui avez vous dit qu il réagit différemment avec sa fille.
      discutez souvent avec votre fille pour lui faire comprendre que vous la soutenez et que vous l aimez et que finalement et bien qu elle prenne le dessus sur c reflexion
      bon courage…on a tous des situations pas faciles!!

      Karine

  15. Très bon article,je le partage mais dommage que je me retrouve dans le rôle de la belle maman…. Et oui parfois les rôles sont inversés et souvent on n’oublie que nous pouvons aussi être à l’autre place… Parent isolé ou peu pris en considération, retrait de garde , garde exclusive ou partagé ect…

  16. Bonjour,
    Je vous lis et je me retrouve en partie…
    Je suis divorcée depuis 2 ans et demi.
    Après 6 mois j’ai rencontré qq1.
    J’ai 2 filles 9 et 16 ans et lui 1 fille 6 ans.
    Ma fille de 9 ans est très jalouse et se dispute sans cesse avec sa fille. Lui prends toujours partis pour sa fille et est souvent injuste même si ma fille n’est pas un ange…
    Aujourd’hui nous vivons dans son appartement et j’ai l’impression comme je lui dit qu’il forme une bulle avec sa fille, son ex et sa mère et moi et mes enfants nous sommes à part…
    Des que je dis qq chose a sa fille il intervient sans cesse ne me laissant aucune autorité.
    L’enfant de 6 n’as me dit régulièrement que je ne suis pas chez moi, hier le ponpon elle me dit de faire mes valises et de déménager avec mes filles. Il lui a sois disant parlé mais je l’entendais et elle l’envoyant sur les roses. Elle n’a même pas été punie et est venue forcée par son père me demander pardon en rigolant comme si elle se moquait. Ca me rends dingue! Je ne sais plus quoi faire.
    Je suis bien avec lui mais les enfants pourisent tout et je ne supporte plus les méchancetés de sa fille qui ne sont jamais reprises ni punies…

    1. Comme je vous comprends…moi j ai la chance de ne la voir qu une semaine sur deux c est ce qui me fais tenir sinon je serai deja parti c est sur !mais souvent je me demane si je merite cette vie….j attend juste qu elle parte
      courage a vous!!!!
      et le mieux serait de prendre un autre appartement avec lui pour vous sentir chez vous!

      Sophie

      1. Oui… fans mon cas pas de répis… ma petite est en garde alternée 1 semaine sur 2 mais la sienne comme il travaille tôt le matin il l’a récupéré chaque jour et elle reste chez nous jusqu’à 17h30, 18h, 18h30 parfois plus et tous les mercredis elle dort + 1 week-end sur 2…
        Je cherche une maison espérons que ça change…

  17. Bonjour alors moi je vis avec mo cheri depuis un an dans une maison qu on a achete avec ma fille de 15 ans et la fille de mon conjoint qui a 21 ans. bien avant qau o habite ensemble elle me disait bonjour une fois sur deux quand je la croisait
    je disais a mon cheri de lui parler avant qu on emmenage…il la jamais fait
    et voila le premier clash a eu lieu apres 3 mois et maintenant elle me dit meme pas bonjour alors qu on est sous le meme toit une semaine sur deux (garde alternee) , elle est toujours en train de me denigrer aupres de son pere , elle me deteste , elle dit que je lui ai pris son pere, et lui dit rien meme pendant les clash il regarde la scene! je lui dis de lui parler qu elle me doit le respect il me dit qu elle est adulte qu il peut pas la forcer a me dire bonjour. en fait la situation le derange pas , c est s&a fille et elle lui parle..je me dis que je merite pas de vivre ca!! il dit qu il va luui parler..mais ca fait un an et demi qu il me dit ca..et rien je sais plus quoi argumenter. n parle de separation et revivre chacun chez soit et continuer notre relation!!mais je lui dis que par fierte je ne vais pas ensuite attendre que sa fille décide pour nous de quand on peut revivre ensemble…que me conseiller? et j arrete pas de lui dire de faire quelques choses…je lui dit que je vais partir etc…

  18. bonjour a toutes
    je retrouve tout q fait ce que j ai vecu dans cet. article. Personnellement je n qi pas eu la patience… L exclusion etait trop dure pour moi (semaine ou il avait ses enfants: des. messages mais pas d activité commune) Il ne m avait toujours pas présenté ses parents au bout de 2 ans de relation et n envisageait pas d’emménagement (un jour peut etre) Il avait la sensation que je cherchais un père pour ma fille. J ai mis un terme a cette relation. J entends bien que oes choses doivent aller plus lentement quand on a des. enfants mais faut pas que ça prenne. toute la vie non plus. Je lui ai propose des. alternatives comme l achat d une résidence secondaire mais sans succes ou de planifier quelque-chose un emménagement dans un an par exemple mais c etait non ! Je regrette parfois mais je ne pouvais pas attendre toute la vie surtout sans perspective

  19. Bonjour, j’ai trouvé par hasard votre blog, et je me dis pourquoi pas raconter mon histoire….
    Il y a 10 ans j’ai rencontré celui qui a partagé ces 10 dernières années. J’étais divorcé depuis 5 ans avec 2 enfants et le papa n’assumait pas et n’assume toujours pas son rôle d’ailleurs, mais peu importe mes enfants étaient avec moi. Arrivée dans ma région depuis peu suite aux complications du divorce et aux méandres de la justice. Notre maison de vacances devenait notre foyer. J’avais du démissionné de mon poste de « rêve » et déménagé afin de garder mes enfants. Donc seule, sans boulot, j’ai d’abord commencé par m’amuser avec ces messieurs, et puis un jour sans que je sache pourquoi, alors que je n’avais pas prévu de me « caser » et bien les sentiments ont pris le dessus. Il était entrain de divorcer de la mère de ses 2 enfants qui devait avoir la garde et il ne devait avoir ses fils qu’un Week-end sur deux, ce qui me convenait. Nous avons présenté nos enfants avec une soirée spéciale. Le 15 août, avec Mac do et feu d’artifice. Ils avaient le même age (les deux grands la même année et les petits 1 an d’écart), donc pour nous quelque chose de plus simple. Fin août, j’avais réservé une maison pour nous trois mais qui convenait pour 6, aussi les choses se sont faites toutes seules. Bien sur à l’époque nous n’avions pas de voitures adéquate alors l’expédition est partie avec vélo et coffre plein de ce que de jeunes enfants peuvent désirés. A la rentrée il vivait toujours à 70 kms de moi avec ses enfants le weekend et tous les weekend il était à la maison, seul ou avec eux. Tout se passer relativement bien. Son plus jeune fils avait beaucoup de mal avec la séparation, il avait un lien fusionnel avec ses deux parents, et ne m’acceptait pas. Mais les sentiments étaient plus forts. La seconde année, il a déménagé dans ma ville et a pris un appartement afin que nous soyons plus proche et surtout que nous allions pas trop vite pour les enfants. Et c’est à ce moment là que son ex a laissé tombé ses enfants, le grand ne la voyait plus du tout (décision de justice ) et le petit et bien normalement elle avait la garde mais ne l’assumait pas du tout. Il a donc fallu les inscrire à l’école dans ma ville, et naturellement je les inscrit dans les écoles de mes enfants. Et puis il y a 8 ans ils ont aménagé chez moi. Nous avons effectué des travaux afin que chacun trouve sa place et son espace. Je me suis reconvertie et j’ai passé des concours devenant fonctionnaire, donc plus de temps disponible. Les seules disputes que nous avions étaient pour les enfants, les seins ou les miens. Il n’a jamais pris la place de beau-père auprès de mes enfants, alors que moi j’ai élevé ses enfants. Entre les réunions parents-profs, les avocats, le médecin etc… j’ai toujours fait ce qu’il fallait, et je me rends compte que j’en ai sans doute trop fait. Ma relation avec mes enfants est toujours la même, je suis proche d’eux mais eux ne sentaient plus chez eux, ni moi non plus d’ailleurs. Son fils aîné, est aujourd’hui un jeune homme à cause de qui nous nous séparons. Il a levé la main sur moi, et il ne m’a pas cru. Il dit que j’ai menti, mais je sais qu’au fond de lui il sait que c’est vrai. Son gamin est violent, il l’était déjà verbalement et là il a ce que personne n’avait jamais fait. Aussi je les ai mis à la porte, car je suis chez moi. Nous n’étions plus un couple, nous nous sommes oubliés. il a fait passer ses enfants avant nous, et nous nous sommes perdus. Il signe chez le notaire fin août et depuis plusieurs mois c’est une cohabitation forcée. Je ne vis plus, mes enfants non plus. Mon fils ne veut pas me laisser, car il a peur pour moi (c’est lui qui a contré le fils aîné lorsqu’il a levé la main sur moi), et ma fille est partie en vacances les deux mois au soleil. Il dort sur le canapé depuis 2 mois, je n’adresse pas la parole à ses enfants ni lui aux miens, c’est assez surréaliste, mais c’est surtout très lourd. Je suis perdue car j’ai toujours des sentiments pour lui. Lui aussi est perdu, mais il m’a dit quelque chose qui trotte dans ma tête, que nous ne pouvions plus être ensemble mais si nous avions chacun notre maison car si jamais nous décédions nous ne pourrions être à l’enterrement de l’autre, car ni mes enfants ni les siens n’accepteraient. Je ne sais pas si cette vision est macabre ou simplement qu’il fait le deuil de notre relation. Pourtant nous avons toujours des relations intimes mais cachées (quand je dis surréaliste c’est réaliste….). Nous sommes tous les deux perdus, mais je suis décidée à ne plus avoir ses enfants dans ma vie , et réciproquement, et il le sait. Voilà, il part dans 4 semaines et cela sera un soulagement, mais j’avoue que j’ai aussi peur, tous nos projets sont tombés à l’eau, il laisse un vide, un manque mais je ne reviendrais pas en arrière. Si nous devons de nouveau être ensemble cela sera tous les deux sans personne d’autre. Les enfants ont grandi et les petits sont aujourd’hui au lycée. Ma fille sera à la fac l’an prochain, et je me retrouverais seule la semaine avec deux enfants en fac, et j’avoue que cette solitude m’effraie. Moi qui avait pris un job « cool » pour avoir du temps je vais en avoir trop…. Avec ce témoignage, je veux seulement dire que rien n’est jamais gagné, on croit que les soucis arrivent lorsqu’ils sont petits et bien pour moi non, ils sont arrivés car ses enfants veulent faire entendre leurs voix à n’importe quel prix. Même si son grand qui a terminé ses études et ne restera pas avec son père très longtemps il veut diriger sa vie et ses choix, et il connait son père et ses priorités. Il fait valoir les années de souffrances antérieurs à nous pour faire accepter les oppositions. Mettre des mots sur ce qui m’arrive me fait du bien, et je n’y avais pas pensé, aussi merci pour cet espace d’écriture.

    1. Bonjour Eléa et merci pour votre partage. Je suis désolée du temps de réponse, je viens juste de voir votre commentaire. Merci de raconter votre histoire. Vous n’êtes pas seule dans cette situation… avec des ados qui prennent le pouvoir. Malheureusement, ils sont moins responsables que les parents qui les laissent faire. Certains papas qui fuient le conflit mettent leur couple au second plan et laissent leurs enfants diriger leur vie et manquer de respect à la belle-mère qui parfois les a élevés. N’ayez pas peur de l’avenir ! Vous avez le choix de vivre cette nouvelle vie qui s’offre à vous comme une opportunité pour vous épanouir et faire ce que vous désirez. Vu votre histoire, je constate que vous êtes pleine de ressources ! Bon courage pour la suite ! Anne-Laure

  20. Bonjour voilà nous sommes une famille recomposée en tout on n’est 7 je me suis investi à fond dans mon rôle de femme est de belle mère.
    Pendant le confinement on na décider de le faire ensemble on na vue que tout allee pour le mieux on na décider de vivre ensemble
    Voilà seulement 1 ans que l’on ses installée ensemble que y’a quelque jour qu’il m’a dit de me retrouver un logement car ma fille a du mal à respecter les règles parle pas très bien quand on lui dit non elle est toujours sur la provocation du coup j’ai fait mes demande de logement
    Il m’a dit on ce sépare pas mais on na chacun notre chez nous comme sa quand ça va pas chacun reste chez soi mais moi j’ai tout perdu part amour pour cet homme lui il est chez lui est moi je recherche
    Je voulais savoir quesque vous en pensez de cette situation merci

    1. Bonjour Sonia, la vraie question c’est : qu’est-ce que vous voulez au plus profond de vous-même ? Quels sont les choix d’actions qui se présentent à vous ? Pour chaque action, quels sont les avantages et les inconvénients ? Notez tout cela quelque part.
      Il semble que votre compagnon ait du mal à vivre le comportement de votre fille. Si vous pouvez agir là-dessus (et c’est le cas, vous êtes sa mère :)), quelles sont les options, et avez-vous envie d’agir ? Si non, pourquoi d’après vous ?
      Enfin, prenez le temps de discuter avec votre compagnon et avec votre fille pour savoir quels sont leurs besoins, et prenez aussi le temps d’exprimer les vôtres. Bon courage,
      Bien à vous, Anne-Laure

  21. Merci Anne-Laure et Line pour vos réponses, ça fait du bien de se sentir comprise 🙂
    Concernant le logement, il est propriétaire d’une grande maison suffisamment grande pour nous accueillir mes enfants et moi, et il n’a pas l’intention de vivre ailleurs. De mon côté je n’ai toujours pas acheté et c’était un projet avant de le rencontrer – ça l’est toujours mais le paramètre « recomposition de famille » change fortement la donne.
    Pas possible d’essayer la cohabitation sur une longue période malheureusement, du fait des enfants qui sont scolarisés dans une région différente et d’un ex qui me fait encore la misère. Le maximum que nous ayons pu faire c’est une semaine entière pendant les vacances. Ca va globalement bien entre nos enfants respectifs, heureusement.
    Je pense qu’une autre erreur que nous faisons souvent, nous les « pièces rapportées », c’est de ne pas imposer nos propres exigences par peur de ne pas être assez légitime ou tout simplement par peur de perdre notre partenaire. J’ai dû faire mon petit cheminement mais aujourd’hui je pense savoir ce que je suis prête à accepter ou pas. Ma seule difficulté reste de le communiquer de manière constructive et dans une progression la plus efficace possible, sachant que sur certains aspects évoqués (notamment son ex), c’est un pas en avant, deux en arrière.
    Courage à nous toutes!

  22. Beaucoup de choses me freinent pour emménager avec mon compagnon (1 an et demi de relation), et mon intuition semble plutôt bonne à la lecture de cet article. Couple à l’arrière-plan en présence des enfants (pourquoi est-ce que ça changerait en cas de cohabitation?), habitudes incompatibles avec la présence d’un autre adulte (enfant qui dort dans le lit parental, responsabilisation de l’aînée,…), ex envahissante et qui se sent chez elle quand elle vient, intimité émotionnelle sollicitée de sa part envers mon conjoint… tout ça avec sa bénédiction??? J’ai l’impression de jouer constamment le mauvais rôle en relevant à quel point ces habitudes me dérangent. Mon conjoint n’a pas l’air de réaliser que la situation est loin d’être idéale, pour ne rien arranger. Comment préparer au mieux le terrain pour que les choses aillent dans le bon sens? Lui est pressé et pourtant, de mon côté j’ai l’impression que le processus devra prendre quelques années!

    1. Bonjour Alice et merci pour votre témoignage. Vous êtes très claire sur les raisons de vos hésitations. Qui sont légitimes. Vous avez tout simplement le droit de refuser en l’état, en lui expliquant que vous ne pouvez pas vivre avec ce mode de vie. Comme je l’ai écrit dans l’article, votre compagnon doit changer ses habitudes s’il veut que vous emménagiez ensemble. Il ne peut pas espérer ne rien changer, attendre de vous que vous vous adaptiez à tout. Vous considérera-t-il comme son invitée ? Si vous emménagez ensemble, vous devenez la maîtresse de maison. Vous serez chez vous, pas seulement chez lui. L’a-t-il vraiment compris ? Serait-il prêt à emménager dans un nouvel endroit avec vous ? A mettre des limites à son ex ? A refuser que son enfant prenne une place qui n’est pas la sienne dans le lit parental ? A établir les nouvelles règles de la maison avec vous ? La meilleure solution reste la communication. Posez-lui ces questions, au calme. Parlez de comment vous voyez l’avenir ensemble, abordez tous les sujets (argent, éducation, projets, etc.). Créez de nouveaux objectifs communs. Je ne sais pas si vous avez des enfants de votre côté… Si vous n’en avez pas, vous pouvez peut-être, après avoir tout mis à plat, faire un essai ? Vous tentez l’expérience pour 1 mois par exemple. Et à la fin de ce mois, vous faites le bilan ensemble.

    2. Bonjour Alice
      Je comprends o combien vos hésitations et pour être passés par là et la lecture de ce que vous décrivez je crois effectivement Qu il faut bien peser le pour et le contre.
      Comme vous le dite on peut souvent avoir l impression d être la méchante face à une situation et des habitudes de leur petit microcosme qui ne nous conviennent pas. Pour l avoir la aussi vécu je crois que cela est ensuite d autant plus important et on peut se sentir encore moins le légitimité de dire quelque chose lorsqu en plus nous vivons chez monsieur.
      Déjà avoir un logement commun mais choisi à deux changerait en partie la donne.
      Ça n a pas été le cas pour moi.

  23. Bonjour
    Nous nous sommes séparés avec mon compagnon pendant le confinement après 2 ans de relation. Il a une petite fille de 6 ans. Ce n est pas la seule difficulté mais là famille recomposée a ete en partie un pb. Je n ai pas d enfant de mon côté. Lui avait une vision idéalisée de la famille recomposée et de la.belle mère parfaite. Ça m a mis énormément de pression en plus des difficultés que je ressentais. Du coup je ne me suis jamais sentie à la hauteur et nulle dans ce rôle là. J ai commencé à m isoler dans la souffrance.
    Il y a quelques erreurs listées la haut que nous avons du faire. Je vivais seule avant et j ai parfois eu le sentiment que mon compagnon pensait que de mettre tout le monde ensemble dans le même appartement (le sien) suffirait. Je ne me sentais pas chez moi et quand sa fille était là soumise à leur petit duo, leur petit fonctionnement de couple instaurés quand il étaient seuls. J avais l impression qu il était triste quand elle partait, heureux quand elle revenait…et moi j avais le malheur d être là tout le temps quelque part.
    Il y a plus d un mois désormais que nous sommes séparés. J aimerais que les choses reprennent mais je ne sais pas si c est possible, ni comment faire. ..

    1. Bonsoir Line, merci pour votre témoignage ! Je pense que beaucoup de belles-mères vont s’y retrouver. A vous lire, je me demande si votre compagnon ne cherchait pas (inconsciemment) une mère de substitution pour sa fille ? Avant d’être une belle-mère, on est d’abord une femme… En plus, vous n’avez pas d’enfants, ce qui rend la tâche plus difficile. Ne vous blâmez pas ! Devenir belle-mère est un tel bouleversement, un raz-de marée ! Comme je le décris dans l’article « Quand ses enfants sont là, je suis invisible ! », les papas peuvent, sans vraiment s’en rendre compte, se consacrer entièrement à leurs enfants quand ils les ont, en oubliant les autres… Difficile pour la compagne de prendre sa place dans de telles conditions… Enfin, ce n’est pas forcément évident à mettre en place, mais quand le couple est prêt à s’installer ensemble, c’est mieux de trouver un nouveau foyer. Pour qu’une nouvelle histoire commence, une page blanche. Bon courage à vous !

    2. Bonjour,
      Vous avez bien fait de partir. Je m’y suis engluée pendant plus de 6 ans. Pour rien. J’avais le même sentiment que vous : LEUR famille, et moi, électron libre à côté, variable d’ajustement au planning des enfants/du père/de la mère/du mec de la mère/de l’ex du mec de la mère (rayer la mention inutile). Je suis partie et j’ai rencontré un homme fabuleux avec qui je construis enfin quelque chose. Je ne suis plus juste « là » comme un pot de fleurs à devoir tout accepter et fermer ma bouche. Monsieur de son côté a trouvé aussitôt après notre rupture une autre pigeonne sans enfant, comme moi, adaptable à merci et l’a engrossée dans la foulée, histoire de la piéger pour de bon. Je la plains. C’est dur quand on aime, mais si vous avez réussi à partir, ne revenez pas en arrière. Ne faites pas la même erreur que moi, j’ai gâché trop de temps dans cette histoire. Il ne changera pas. En presque 7 ans, mon ex n’a pas fait la moindre concession. Pas une. Jamais. Ses enfants étaient sa seule et unique préoccupation. Je n’étais qu’un petit bonus confortable dans sa vie, autonome et à qui il n’y avait rien à donner. Sauvez-vous vite, ailleurs, il existe des perles qui seront prêts à prendre soin de vous.

      1. Bonsoir Jade et merci pour ce commentaire.
        Nous sommes plus de 6 mois plus tard et je n y suis pas retournée. Les ponts sont totalement coupés.
        J en garde encore pas mal de douleur, d y avoir cru , de mettre investie et d avoir été critiquée en tant que belle mère par mon ex… cette sensation de ne pas être à la hauteur comme belle mère et sans doute comme mère (que je ne suis pas encore ) m a profondément affectée.
        La suite de vitre histoire donné de l espoir. Puisse la mienne aussi avoir un avenir comme celui là.
        Effectivement je pense que je me serai toujours battue en vain en ayant que des bribes d une relation telle que je l aurais aimée. C est difficile à accepter quand on y a cru.

        1. Bonjour Line,

          Je vous souhaite de tout mon cœur de vous reconstruire et trouver l’équilibre et la sérénité avec une personne qui saura vous donner votre VRAIE place, comme cela a été le cas pour moi.
          En revanche, ne gardez pas de sentiment d’échec. Je le comprends parfaitement parce que j’ai eu le même que vous, tout le long de notre histoire et même encore après : le sentiment ne de pas être à la hauteur. Quand j’ai appris que mon ex avait eu un autre enfant très vite avec une autre, même si je suis très heureuse dans ma vie actuelle, ça a tout de même été un choc : c’était donc si facile avec une autre ? Tout était donc possible avec elle alors qu’au cours de toutes ces années, rien n’avait été possible entre nous… (je n’avais pas voulu avoir d’enfant avec lui parce qu’il ne faisait même pas en sorte que je sois respectée par ses enfants) Elle a su mieux s’y prendre avec eux ? Beaucoup de questions s’étaient bousculées dans ma tête et la conclusion suivante me terrassait : c’était moi qui n’était pas capable ! A l’heure où mon fiancé et moi commencions à réfléchir à l’idée de devenir nous aussi parents, j’étais pétrifiée par l’échec de mon parcours passé. J’étais si mal que je me suis confiée à mon compagnon, qui a tout très bien compris et m’a parfaitement rassurée.
          La famille recomposée est un sacré bourbier, et il faut vraiment que chaque membre joue le jeu pour que cela fonctionne. Il est trop facile de mettre l’échec sur le dos de la « pièce rapportée ».
          Notre échec passé est un échec collectif. Nous étions des pièces de puzzle qui n’allaient pas ensemble. Et celui qui aurait dû arranger tout cela en premier lieu n’a pas fait le boulot…
          Donc il ne faut pas remettre en question notre capacité propre à construire notre vie… il suffit de trouver la bonne personne, celle avec qui les pièces ne sont pas grippées… et vous verrez, du sentiment d’échec, vous passerez au sentiment de plénitude ! 🙂 Je vous le souhaite si fort !
          Bonne continuation à vous.

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